Avis de la presse

exemple
Le pont du Rialto 1970
Henri LALEVEE
" Le chant des couleurs est soutenue très souvent par le continu sombre ce cet effet de contre-jour au premier plan formé par des silhouettes de gondoles effilées.
Nelly FAIRISSE
l'écran lorrain, mai 1971
Collioure Cadaquès 1969
Henri LALEVEE
" Ainsi Claude LE LORRAIN, lassé des brumes et des froidures de sa LORRAINE, reçut-il un jour le grand choc de la lumière romaine. Henri LALEVEE va quêter la lumière là où elle déploie ses sortilèges de COLLIOURE à la Costa Brava."
Pierre JEANDIDIER
la liberté de l'est, 6 juillet 1970
Collioure Collioure 1968
Henri LALEVEE
"Son métier d'aquafortiste lui permet toutes les audaces et les effets les plus savants, mais il n'abuse jamais de sa virtuosité, sachant rester sur un plan purement plastique."
MANDOSSE
La revue moderne, septembre 1970
"...Les gravures témoignent d'une vitalité et en même temps d'une vigueur dont le dessin ressent les heureux effets. La plume est vive, coupante comme une lame et on la devine attentive, non pas à l'objet ou au paysage, mais à ce qu'il recouvre, à ce qu'il défend et cet élément parfaitement subjectif apporte aux gravures, un peu de cette "buée d'âme morte" dont parle le poète".
Roger BRUCE
le républiquain lorrain, 30 novembre 1969
"Quand il attaque le cuivre, ses compétences, inspirées par une volonté subtile d'organisation de l'espace, sont empreintes d'une grande virilité. C'est en tant que graveur qu'il saisit à la fois l'âpreté et la spiritualité du paysage Lorrain".
Jean VARTIER
l'est républicain, 21 novembre 1969
"Son style, d'essence cubiste, utilise toutes les ressources de la lumière pour imposer le motif...
Les surfaces géométriques accusent les volumes et les détachent dans une atmosphère irréelle qui fait chatoyer les ocres et les verts. Dans le "CELLIER", les couleurs se fondent, se juxtaposent par larges touches, dans une matière dense, formant une riche symphonie".
Renée CARVALHO
la revue moderne, juillet 1968
"Un peu comme le fait HILAIRE, qui fut son maître, Henri LALEVEE joue avec une couleur dont il déploie toutes les nuances à l'infini, créant ainsi un rythme et une harmonie qui lui sont particuliers".
Monique MECKERT
le républiquain lorrain, 8 janvier 1967
exemple Le pont du Rialto 1970
Henri LALEVEE
"Il fait chanter la Lorraine dans la lumière du Midi et le sujet qu'il "travaille" à facettes, suivant son cubisme libre devient, par l'accouplement du pinceau et de la toile, un hymne éclatant à la nature, le mystère en noir blanc du graveur est-il révélé par le peintre ? Dans la subtile harmonie de ses couleurs, le peintre cache-t-il le secret du graveur? Qui le saura jamais ? Il est évident qu'Henri LALEVEE a trouvé son équilibre dans les techniques différentes qu'il suit : gravure et peinture".
Nelly FAIRISSE
l'écran lorrain, juillet 1966
"Henri LALEVEE s'impose par ses toiles, classé par les critiques comme NEO-CUBISTE, se reconnaissant disciple de VILLON; il s'attache essentiellement à la construction et à l'harmonie".
KARIM-ESSAHEL
prestige, février 1965
"En passant de la gravure à la peinture, Henri LALEVEE ne conserve peut-être pas cette science des jeux du noir et blanc spécifique de son travail de graveur. Ses compositions sont bien architecturées et d'une bonne tenue".
J.-J. LEVEQUE
la galerie des arts, février 1965
"Ses toiles aux couleurs riches et gaies se distinguent par une solidité de structure et une ampleur, une profondeur admirable". Henri LALEVEE ne dédaigne pas jouer avec les rythmes et les contrastes, créant ainsi de riches mosaïques. Compositeur habile, l'artiste démontre également son goût de décor éclatant en utilisant toutes les ressources de sa palette dans les "natures mortes" dont celle à la cafetière bleue est d'une brillante et séduisante facture".
Jacques MELLINETTE
l'est républicain, décembre 1964
Nature morte à la cafetière bleu
Nature morte à la
cafetière bleu 1964
Henri LALEVEE
Nature morte à la cafetière bleu Riquewihr 1964
Henri LALEVEE
"Henri LALEVEE présente de claires peintures et de fortes gravures : Images de la Lorraine et de l' Alsace, rythmiques et bien équilibrée"
Maximilien GAUTHIER
les nouvelles littéraires, 10 décembre 1964
"De cet artiste originaire des Vosges, les gravures montrent la manière délicate et nuancée dont il traite le noir et le blanc...".
Michèle SEURIERE
arts et spectacles, 9 décembre 1964
"Une palette claire aux tons fins, en bel accord avec la qualité d'une atmosphère, caractérise ce peintre qui possède un registre étendu de signes qu'il distribue avec beaucoup de tact.
Ses tableaux sont des panneaux de lumière d'un tel agrément...".
Jean CHABANON
le peintre, décembre 1964
"Les huiles, dans leurs gammes lumineuses, disent le souci d'architecture dont témoigent les paysages lorrains sur un rythme qui demeure vivant".
Michèle SEURIERE
arts et spectacles,9 décembre 1964
"Ses couleurs sont vives et bien accordées, elles ne manquent pas leur effet. Ses ciles se confondent par petites divisions et mettent en valeurs ses premiers plans tracés eux, d'un seul élan. Une peinture lisible, mais ramenée à l'essentiel de l'expression".
Marcel ESPIAU
nouveaux jours,18 décembre 1964
"Henri LALEVEE prend déjà une bonne place dans le noyau des artistes sur lequel il convient de compter. Sa vision du monde est plaisante, claire et lumineuse, traitée dans des accords de couleur d'une certaine suavité ".
J.-J. LEVEQUE
au long des cimaises - l'information,19 décembre 1964
"...La pensée d'Henri LALEVEE est splendidement adaptée et malléable, tendant en chaque circonstance à servir différemment l'idée finale ; elle suggère par un somptueux artifice la matière rude ou aimable qui prédomine dans le site. C'est le bois, c'est la pierre et quelquefois le fruit, car les Vosges d'Henri LALEVEE sont rudes, elles attirent par une sauvage grandeur".
Maurice GOFFINET
l'est républicain, 12 septembre 1963
Les visages sont traités d'une manière hiératique, linéaire, ils doivent s'harmoniser avec un cadre qui prend ici une grande importance".
J.-P. LAMPE
le républicain lorrain, octobre 1961
"Henri LALEVEE, maître de son art, oppose une construction rigoureuse sans rien enlever pourtant à la spontanéité de la création".
Marcel CAGELOT
le républicain lorrain, 17 janvier 1959
"Henri LALEVEE dans ses dessins affirme un talent sûr et équilibré, il est difficile de dire tant de choses avec si peu de moyens ; de le dire mieux, de façon élégante, aussi complète ; chaque trait compte, a son rôle propre, on ne saurait le retirer".
Gabriel BICHET
le républicain lorrain, mai 1958
"Le romantisme de l'échevèlement de certains éléments de paysages de la Lorraine d'Henri LALEVEE est curieusement contrecarré par la structure géométrique d'autres éléments. Malgré cette dualité, l'unité de l'ensemble est sauvegardée par une limitation des valeurs qui, renonçant à ses contrastes, en sacrifie les accents".
Denis ROUART
le pays lorrain, 1957
Nature morte à la cafetière bleu Paysage lorrain
Sersey 1966
Henri LALEVEE
"On observera aussi, chez Henri LALEVEE, un sens de l'anecdote qui se traduit en diverses scènes de composition comme les "FILEUSES". Ici le rythme devient mesure et enveloppe le sujet dans une contexture mélodique en étroite harmonie avec lui ".
Gabriel BICHET
l'est républicain, février 1955
"Pour lalevee, le tableau est avant tout une surface plane définie par ses deux dimensions, il néglige volontairement la troisième avec la perspective et les valeurs qui en sont les conséquences. Il demande tout ou presque aux tons plats et se consacre aux accords de couleurs avec une aisance heureuse".
... N...
arts et spectacles, mai 1951
"On a pu le comparer à matisse ; effectivement le jeune peintre nancéien a choisi matisse. Mais quel artiste, plus ou moins consciemment du reste, ne "choisit" pas ? Lorsqu'on veut être bienveillant, et tout est question d'intention partant de vocabulaire,on parle d'influence. Disons donc qu'Henri LALEVEE a subi l'influence de MATISSE".
Gabriel BICHET
l'est republicain, 10 janvier 1951
Jeune fille au fauteuil Jeune fille au fauteuil
1954

Henri LALEVEE
"lalevee semble rechercher avec plaisir la composition, les intérieurs que tache une silhouette familière, toujours très féminine d'ailleurs, dans une symphonie de jaunes et de verts qui se marient agréablement"
Marcel GAGELOT
republicain lorrain, 10 décembre 1964